Eurométropole de Strasbourg : McDonald’s prépare ses embauches estivales
26 mars 2024 à 17h36 - Modifié : 28 mars 2024 à 8h50 par Jules Scheuer
Avec l’arrivée des beaux jours, les McDonald’s de l’Eurométropole de Strasbourg se préparent à l’arrivée de la saison estivale, synonyme de vague de recrutement pour l’entreprise de fast-food.
« 60% des gens connaissent quelqu’un qui a travaillé chez McDonald’s », a lancé Laurent Liautaud, franchisé McDonald's dans l’Eurométropole de Strasbourg, en ouverture de la conférence de presse de ce 26 mars. Employeur majeur chez les étudiants et jeunes adultes, les McDonald’s de l’Eurométropole de Strasbourg préparent leur traditionnelle vague de recrutement de l’été. L’entreprise de fast-food doit s’adapter à son marché très particulier. Bon nombre de jeunes viennent y chercher une expérience pour une durée déterminée, souvent à temps partiel. Ces profils représentent une très grande majorité des employés des différents restaurants de l’EMS. « Il y a à peu près 20% de gens qui poursuivent chez nous au-delà de leur premier job étudiant », affirme Laurent Liautaud, qui s'était engagé auprès de la ville pour limiter les déchets lié à l'activité des fast-foods.
En conséquence, les restaurants font face à un turn-over régulier et important. Avant le début de la saison estivale, les McDonald’s de l’EMS seront à la recherche de 150 à 200 personnes. Laurent Liautaud se félicite d’avoir dans ses rangs de jeunes équipes, avec une moyenne d’âge des équipiers polyvalents de 22 ans. « On est le premier employeur de jeunes en France. 50% de nos équipiers sont des étudiants. À l’échelle de l’EMS, on emploie environ 650 personnes. » La chaîne de fast-food se positionne ainsi comme un employeur majeur du secteur, notamment auprès des plus jeunes générations.
"Je comprends tout à fait que ça puisse ne pas plaire pas à tout le monde"
Autrefois décrié par certains pour des conditions de travail qualifiées de difficiles, les restaurants McDonald’s semblent s’être éloignés de cette image. Ils affirment aujourd’hui que leurs emplois sont comparables à ceux de la restauration classique. « Le métier a quelques contraintes puisqu’il demande des disponibilités le soir et le week-end. C’est un métier dynamique, qui nécessite un engagement mais tout autant que dans la restauration traditionnelle. Le travail est organisé, bien structuré, on travaille en équipe. Il n'est pas pénible plus qu’autre chose. », affirme Laurent Liautaud. « On a des rushs des client à servir. Je comprends tout à fait que ça puisse ne pas plaire pas à tout le monde, mais je n’accepte pas le terme de conditions de travail difficiles ».
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